Fréquentation vs. protection
POURQUOI NE PAS INTERDIRE LE TOURISME?
Le tourisme a des conséquences partout dans le monde; elles peuvent être positives ou négatives. Une des conséquences dont les villes ou les pays ne peuvent se passer est économique. Le tourisme permet la création d'emplois et les retombées économiques sont très importantes. Dans les pays en voie de développement comme l'Équateur, la population locale ne peut se priver de cette source de revenue. La création d'emplois touche toute la population locale. En plus des guides et des employés du parc, beaucoup d'emplois complémentaires sont créés dans la restauration, les hôtels et les boutiques.
COMMENT CONCILIER TOURISME ET PROTECTION DU PATRIMOINE NATUREL?
Les autorités locales et scientifiques ont créé un aménagement permettant une protection maximum du patrimoine naturel. Par exemple, les 70 sites terrestres ouverts au public ne couvrent que 3% de la superficie totale du parc. Chacun de ces sites possèdent les infrastructures nécessaires escaliers, panneaux de signalisation, des sentiers... en plus des trois aéroports de l'archipel, des zones agricoles qui limitent l'utilisation des terres et des zones d'habitations.
RÉPERCUSSIONS DE LA FRÉQUENTATION DU PARC...
- croissance de la population des îles;
- introduction d'espèces exotiques;
- augmentation des infrastructures, de la quantité de matériau de construction, d'utilisation d'essence...;
- détérioration lente de l'eau et du sol;
- pollution causée par le manque d'infrastructures sanitaires pour les résidents;
- perturbation des écosystèmes.
DOIT-ON INTERDIRE LE TOURISME POUR SAUVER LE PATRIMOINE NATUREL?
Plus il y a de touristes, plus il y a création d'emplois, donc plus le niveau de vie des Équatoriens s'améliore. Les Équatoriens ne veulent plus s'en passer et avec raison. Ils doivent donc tout mettre en place pour le meilleur compromis: conserver ce patrimoine et attirer les touristes.
Le tourisme a des conséquences partout dans le monde; elles peuvent être positives ou négatives. Une des conséquences dont les villes ou les pays ne peuvent se passer est économique. Le tourisme permet la création d'emplois et les retombées économiques sont très importantes. Dans les pays en voie de développement comme l'Équateur, la population locale ne peut se priver de cette source de revenue. La création d'emplois touche toute la population locale. En plus des guides et des employés du parc, beaucoup d'emplois complémentaires sont créés dans la restauration, les hôtels et les boutiques.
COMMENT CONCILIER TOURISME ET PROTECTION DU PATRIMOINE NATUREL?
Les autorités locales et scientifiques ont créé un aménagement permettant une protection maximum du patrimoine naturel. Par exemple, les 70 sites terrestres ouverts au public ne couvrent que 3% de la superficie totale du parc. Chacun de ces sites possèdent les infrastructures nécessaires escaliers, panneaux de signalisation, des sentiers... en plus des trois aéroports de l'archipel, des zones agricoles qui limitent l'utilisation des terres et des zones d'habitations.
RÉPERCUSSIONS DE LA FRÉQUENTATION DU PARC...
- croissance de la population des îles;
- introduction d'espèces exotiques;
- augmentation des infrastructures, de la quantité de matériau de construction, d'utilisation d'essence...;
- détérioration lente de l'eau et du sol;
- pollution causée par le manque d'infrastructures sanitaires pour les résidents;
- perturbation des écosystèmes.
DOIT-ON INTERDIRE LE TOURISME POUR SAUVER LE PATRIMOINE NATUREL?
Plus il y a de touristes, plus il y a création d'emplois, donc plus le niveau de vie des Équatoriens s'améliore. Les Équatoriens ne veulent plus s'en passer et avec raison. Ils doivent donc tout mettre en place pour le meilleur compromis: conserver ce patrimoine et attirer les touristes.
Un navire de ravitaillement équatorien, le Jessica, s'est échoué aux îles Galápagos le 16 janvier 2001, plus précisément devant l’île San Cristobal, la plus à l’Est des Galápagos. Ce navire transportait 604 000 litres de gasoil et 302 000 litres de carburant pour bateau. Jessica a heurté un récif et le pétrole s’est déversé dans la mer. Les otaries et les pélicans ont été les premières victimes de la marée noire causée par cet accident. Les compagnies pétrolières dont la situation est la plus alarmante en matière d’accident sont Amerada Hess et Philips, celles qui ont eu le moins d’accidents sont Ashland et Shell. (http://jaffrenou.free.fr/1risk8.htm) |